Le Mystère 
Léon Plouhinec

Spectacle loufoque et poétique de papiers découpés, d’effets spéciaux artisanaux et de compositions musicales inédites pour tous les publics à partir de 7 ans.

Avec
Pierre-Yves Bernard, comédien
Julien Certin, compositeur et musicien
Judith Chomel, manipulation de papier découpé

Production
Turbine Production

Contact
vanessa@turbineproduction.com
Tél : 06 10 89 14 32

Pour adapter son album jeunesse La vie rocambolesque de Léon Plouhinec (édition Atelier du Poisson Soluble, 2023), Judith Chomel s’entoure d’un musicien et d’un comédien afin de proposer une plongée dans un univers loufoque et poétique, fait de papiers découpés, de machineries artisanales dans l’esprit de Michel Gondry et de compositions musicales inédites.

Au centre de la scène, le comédien évolue autour d’un petit castelet reprenant les techniques d’illusions scéniques du 18e siècle. Il incarne Léon Plouhinec, le gardien de phare. Dans les lettres adressées à ses cinq filles, Léon retrace sa vie au phare, une vie solitaire, rigoureuse et contemplative. Ses journées sont marquées par l’allumage et l’extinction du feu, par les odeurs familières de rochers et d’air salé, le clapotis régulier du ressac, le ronflement du vent et la lumière changeante au fil de la journée. Mais ce que Léon dévoile aussi est bien surprenant : sans jamais quitter son phare, il a mené une vie trépidante. Un cosmonaute russe, des agents secrets anglais, un agent immobilier véreux, des collectionneurs de parfum, une cantatrice en cavale : tout un défilé de personnages rocambolesques !

A jardin, voici le bureau de la Commissaire Pantin. Elle a exhumé des archives du commissariat, un vieux dossier intitulé Léon Plouhinec dont elle étudie minutieusement le contenu et les éléments en papiers découpés afin de comprendre qui peut bien être Léon Plouhinec. Le gardien de phare est-il un aventurier ou un vieux bonhomme qui se raconte des histoires ? Peut-on mener une existence qui ressemble à un conte ? En explorant les documents en sa possession (lettres, photos, découpages), Commissaire Pantin plonge progressivement dans un univers tendre et décalé, celui de la tête de ce vieux gardien de phare qui transforme une vie répétitive, ennuyeuse et isolée en une vie palpitante, qui entremêle le réel et l’imaginaire et sème le doute.

A Cour, la cabine de « Radio Méduse » dans laquelle se trouve l’animateur radio, un autre gardien de nuit solitaire qui adore ponctuer ses émissions en jouant lui-même de la musique en direct. Les compositions à l’accordéon, au synthétiseur et les jingles farfelus sont autant d’improbables miroirs à l’imagination débordante et aux humeurs météorologiques de Léon Plouhinec en mal de repères. Seul lien possible avec le lointain quotidien du continent, la radio rythme les longues journées machinales du gardien et stimule son imagination.

A Cour, la cabine de « Radio Méduse » dans laquelle se trouve l’animateur radio, un autre gardien de nuit solitaire qui adore ponctuer ses émissions en jouant lui-même de la musique en direct. Les compositions à l’accordéon, au synthétiseur et les jingles farfelus sont autant d’improbables miroirs à l’imagination débordante et aux humeurs météorologiques de Léon Plouhinec en mal de repères. Seul lien possible avec le lointain quotidien du continent, la radio rythme les longues journées machinales du gardien et stimule son imagination.

« Imaginez une scène où des décors en papier découpé, des jeux de lumière et des sons subtils se marient pour recréer l’univers singulier de Léon, ce gardien de phare dont la vie semble banale mais se révèle être une épopée extraordinaire ! »

Lire la suite sur — www.crocoule.org